« Il existe des peintures qui gesticulent, qui crient, celle de Coignard murmure. A l’effet choc, l’artiste préfère une pénétration lente et progressive, une présence immédiate et sensible à travers la simplification du signe qui force notre concentration. L’artiste, en quelque sorte, nous invite à un procédé d’introspection où les opérations les plus élémentaires sont mises que premier plan, visibles et poétiques à la fois. »
Itzahk Goldberg, extrait du catalogue de l’Exposition Hommage de 2014 à la Galerie Capazza, Nançay